Marguerite ou Margot LAFFITE comme vous préférez l’appeler. D’ailleurs, pour la petite histoire, elle m’a concédé ne pas connaître l’origine de ce surnom.
Et pour rester dans l’anecdote puisque après tout, c’est le fil rouge de ce podcast : je voulais remercier Saad BENCHEMSI du GDB (avec qui j’ai déjà enregistré un épisode que je vous invite à aller écouter si cela n’est pas déjà fait) pour la mise en contact avec Marguerite, ainsi qu’Arnaud TSAMERE avec qui j’ai aussi eu la chance d’enregistrer un épisode. Bref, pour la faire courte, Marguerite étant très sollicitée, elle a cru à plusieurs reprises que l’on avait déjà enregistré le podcast… S’en est suivi un enchaînement de quiproquos !
Mais, revenons à ce qui nous intéresse les histoires automobiles et dieu sait qu’avec un nom comme LAFFITE, elles ne manquent pas…
Elle nous raconte son enfance durant laquelle elle ne côtoie pas directement le monde de la course comme on aurait tendance à le croire, puisqu’elle n’a jamais vu son père, Jacques LAFFITE courir en Formule 1, en DTM, ni même sur le Dakar. Elle le voit pour la 1ère fois au Mans alors qu’elle a déjà plus de 15 ans. Pour autant, elle était tout de même entouré par ce milieu du sport automobile, difficile de faire autrement lorsque votre parrain s’appelle Jean-Pierre JABOUILLE, lui aussi pilote de Formule 1…
Pourtant, ce n’est qu’à la vingtaine passée et ses bottes de cavalières rangées que Marguerite s’est mise à la course automobile avec le fameux Trophée Andros puis la Fun Cup poussée par Max MAMERS, son fondateur et ami de la famille.